La prise de Kaboul par les Taliban a coïncidé à quelques jours près avec la finalisation, en Grèce, de l’extension d’un mur de 40 kilomètres le long de sa frontière terrestre avec la Turquie, doublé d’un système de surveillance électronique.
C’est tout un symbole pour un pays dont le gouvernement conservateur insiste davantage sur la protection de ses frontières face aux entrées illégales, que sur les considérations humanitaires liées à la situation afghane.
En parallèle, les Afghans de Grèce, tentent, eux, de sensibiliser au sort de leurs compatriotes qui fuient le pays.
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